Bonjour à tous,
En guise de conclusion, ce blogue, dans son ensemble, permet de mieux appréhender la complexité entourant les diasporas, de comprendre leurs caractéristiques et les liens qui les unissent à leur terre d’accueil, mais également, à leur terre d’origine. En orientant notre réflexion sur les trois grands axes suivants : affaires, DIAH et intégration; nous avons tenté de faire transparaitre les impacts majeurs de ces diasporas à l’échelle mondiale.
Pour ma part, je me suis penché sur rôles joués par les mouvements diasporiques sur les organisations criminelles, ainsi que sur les violences et actes racistes auxquels sont parfois confrontées certaines diasporas. Ces billets m’ont amené à réfléchir sur la nécessité de bien intégrer les migrants, pour une multitude de raisons. Le billet portant sur le cas des Roms m’a par exemple permis de comprendre que les différences culturelles, lorsqu’elles sont incomprises, peuvent être pointées de doigt. Il s’en suit parfois une exclusion des communautés et des actes de violence et de haine à leurs égards. La marginalisation des communautés issues de l’immigration peut également entrainer l’adhésion de certains membres à des groupes violents ou criminels, un aspect notamment aborder dans le billet portant sur l’exemple de la mafia italo-américaine.
Aussi, ce blogue m’a amené à me questionner sur des moyens pouvant être mis en œuvre afin de lutter contre l’exclusion des communautés issues de mouvements diasporique. Je suis convaincu qu’une meilleure intégration de ces communautés passe par des efforts de sensibilisation et d’éducation, et ceci, dès le plus jeune âge. Cependant, étant donné que les résultats de ce processus ne se feront ressentir que sur le long terme et qu’ils ne donnent aucune garantie, je crois également que les États devraient adopter des politiques très strictes en matière de violence raciste et renforcer les lois et les peines encourues.
Pour finir, je souhaite remercier mes coéquipiers, sans qui ce travail n’aurait pu être réalisé. Ce fut un réel plaisir de monter et d’animer ce blogue avec vous. Les différentes thématiques abordées dans vos billets m’ont beaucoup appris et j’ose espérer que cet avis sera partagé par nos amis lecteurs. J’en profite pour les remercier également d’avoir pris le temps de nous lire. Les différents commentaires que vous nous avez soumis nous ont permis de pousser notre réflexion un peu plus loin, ce qui était très apprécié.
Merci,
Yoan Boisselier
En guise de conclusion, ce blogue, dans son ensemble, permet de mieux appréhender la complexité entourant les diasporas, de comprendre leurs caractéristiques et les liens qui les unissent à leur terre d’accueil, mais également, à leur terre d’origine. En orientant notre réflexion sur les trois grands axes suivants : affaires, DIAH et intégration; nous avons tenté de faire transparaitre les impacts majeurs de ces diasporas à l’échelle mondiale.
Pour ma part, je me suis penché sur rôles joués par les mouvements diasporiques sur les organisations criminelles, ainsi que sur les violences et actes racistes auxquels sont parfois confrontées certaines diasporas. Ces billets m’ont amené à réfléchir sur la nécessité de bien intégrer les migrants, pour une multitude de raisons. Le billet portant sur le cas des Roms m’a par exemple permis de comprendre que les différences culturelles, lorsqu’elles sont incomprises, peuvent être pointées de doigt. Il s’en suit parfois une exclusion des communautés et des actes de violence et de haine à leurs égards. La marginalisation des communautés issues de l’immigration peut également entrainer l’adhésion de certains membres à des groupes violents ou criminels, un aspect notamment aborder dans le billet portant sur l’exemple de la mafia italo-américaine.
Aussi, ce blogue m’a amené à me questionner sur des moyens pouvant être mis en œuvre afin de lutter contre l’exclusion des communautés issues de mouvements diasporique. Je suis convaincu qu’une meilleure intégration de ces communautés passe par des efforts de sensibilisation et d’éducation, et ceci, dès le plus jeune âge. Cependant, étant donné que les résultats de ce processus ne se feront ressentir que sur le long terme et qu’ils ne donnent aucune garantie, je crois également que les États devraient adopter des politiques très strictes en matière de violence raciste et renforcer les lois et les peines encourues.
Pour finir, je souhaite remercier mes coéquipiers, sans qui ce travail n’aurait pu être réalisé. Ce fut un réel plaisir de monter et d’animer ce blogue avec vous. Les différentes thématiques abordées dans vos billets m’ont beaucoup appris et j’ose espérer que cet avis sera partagé par nos amis lecteurs. J’en profite pour les remercier également d’avoir pris le temps de nous lire. Les différents commentaires que vous nous avez soumis nous ont permis de pousser notre réflexion un peu plus loin, ce qui était très apprécié.
Merci,
Yoan Boisselier