Bonjour à tous,
Tout d’abord, je tiens à remercier mes coéquipiers pour leur collaboration à ce blogue, ce qui a été très enrichissant, tant sur le contenu des billets que sur la gestion dudit blogue. En effet, ce fut un apprentissage d’avoir à gérer cela avec huit autres personnes! Également, j’ai apprécié lire les différents commentaires qui ont été publiés. Ces derniers permettaient soit d’appuyer les propos des billets grâce à des exemples ou des cas concrets, d’approfondir le sujet ou encore de connaître de nouveaux points de vue.
Ma compréhension du monde des diasporas est qu’il s’agit d’un sujet assez complexe qui touche de nombreux aspects et enjeux au niveau de l’économie, de la religion, de la culture, de la langue, du développement, de l’entraide, de l’intégration et j’en passe! À mon avis, ce phénomène planétaire croissant comporte de nombreux avantages et effets bénéfiques de par la présence de ces personnes à l’extérieur de leur patrie, notamment leur contribution au niveau économique. En effet, les diasporas permettent un développement économique et l’augmentation des conditions de vie tant dans leur pays d’origine grâce aux transferts de fonds et d’expertise que dans leur pays d’accueil grâce à l’implantation de nouveaux segments de marché (nourriture halal, quartier chinois, « fashion » musulmane, etc.), ce qui augmente en plus la diversité de choix pour les consommateurs. Ces diasporas sont également d’une grande aide en jouant un rôle non négligeable au niveau de l’humanitaire et de la consolidation de la paix au sein de leur patrie, par le biais de transfert de connaissances et compétences entre autres. Il ne faut pas non plus oublier leur contribution quant à la prévention de crimes internationaux via des programmes de sensibilisation visant à éveiller les consciences (ex : le Centre Commémoratif de l’Holocauste à Montréal). Grâce à leur présence outre-mer, elles font ainsi le pont symbolique entre les cultures qui doivent le plus possible apprendre à cohabiter de manière harmonieuse.
Cependant, l’incompréhension des autres cultures persiste au sein de certains pays et certaines régions, ce qui malheureusement brime parfois les droits et libertés des diasporas au sein de leur pays d’accueil. Elles sont également victimes de racisme dans certains cas, ce qui peut occasionner des contre-acculturations, des problèmes d’intégration, des « clash » culturels, etc. De même, la complexité du processus identitaire cognitif et émotionnel amène parfois certaines populations à sentir leur identité culturelle menacée. Il peut s’agir de la communauté d’accueil autant que de la diaspora. Le cas du Québec et la radicalisation des points de vue concernant la Charte des valeurs en est un exemple flagrant. Il existe aussi d’autres problématiques relatives aux mouvements diasporiques qu’il ne faut pas négliger, notamment la fuite des cerveaux des professionnels, la présence des réseaux criminels (mafia) et les effets de la mobilité des populations sur la santé publique des pays d’accueil.
Bref, avec tous les aspects ici relevés, qu’ils soient positifs ou négatifs, c’est certain qu’il devient de plus en plus difficile d’ignorer la croissance des diasporas à travers le monde, principalement en raison du phénomène de mondialisation actuel qui accentue les déplacements. C’est dans cette optique que la tolérance, l’ouverture d’esprit et l’acceptation de l’autre doivent être prônées le plus possible en plus d’effectuer une sensibilisation sur les autres cultures, et ce afin de mieux comprendre les différences existantes au sein des peuples présents partout sur le globe.
Catherine Rioux
Référence : Ce texte se base de manière générale sur les différents billets existant sur ce blogue, et donc s’inspire indirectement des sources bibliographiques de chacun d’entre eux.
Tout d’abord, je tiens à remercier mes coéquipiers pour leur collaboration à ce blogue, ce qui a été très enrichissant, tant sur le contenu des billets que sur la gestion dudit blogue. En effet, ce fut un apprentissage d’avoir à gérer cela avec huit autres personnes! Également, j’ai apprécié lire les différents commentaires qui ont été publiés. Ces derniers permettaient soit d’appuyer les propos des billets grâce à des exemples ou des cas concrets, d’approfondir le sujet ou encore de connaître de nouveaux points de vue.
Ma compréhension du monde des diasporas est qu’il s’agit d’un sujet assez complexe qui touche de nombreux aspects et enjeux au niveau de l’économie, de la religion, de la culture, de la langue, du développement, de l’entraide, de l’intégration et j’en passe! À mon avis, ce phénomène planétaire croissant comporte de nombreux avantages et effets bénéfiques de par la présence de ces personnes à l’extérieur de leur patrie, notamment leur contribution au niveau économique. En effet, les diasporas permettent un développement économique et l’augmentation des conditions de vie tant dans leur pays d’origine grâce aux transferts de fonds et d’expertise que dans leur pays d’accueil grâce à l’implantation de nouveaux segments de marché (nourriture halal, quartier chinois, « fashion » musulmane, etc.), ce qui augmente en plus la diversité de choix pour les consommateurs. Ces diasporas sont également d’une grande aide en jouant un rôle non négligeable au niveau de l’humanitaire et de la consolidation de la paix au sein de leur patrie, par le biais de transfert de connaissances et compétences entre autres. Il ne faut pas non plus oublier leur contribution quant à la prévention de crimes internationaux via des programmes de sensibilisation visant à éveiller les consciences (ex : le Centre Commémoratif de l’Holocauste à Montréal). Grâce à leur présence outre-mer, elles font ainsi le pont symbolique entre les cultures qui doivent le plus possible apprendre à cohabiter de manière harmonieuse.
Cependant, l’incompréhension des autres cultures persiste au sein de certains pays et certaines régions, ce qui malheureusement brime parfois les droits et libertés des diasporas au sein de leur pays d’accueil. Elles sont également victimes de racisme dans certains cas, ce qui peut occasionner des contre-acculturations, des problèmes d’intégration, des « clash » culturels, etc. De même, la complexité du processus identitaire cognitif et émotionnel amène parfois certaines populations à sentir leur identité culturelle menacée. Il peut s’agir de la communauté d’accueil autant que de la diaspora. Le cas du Québec et la radicalisation des points de vue concernant la Charte des valeurs en est un exemple flagrant. Il existe aussi d’autres problématiques relatives aux mouvements diasporiques qu’il ne faut pas négliger, notamment la fuite des cerveaux des professionnels, la présence des réseaux criminels (mafia) et les effets de la mobilité des populations sur la santé publique des pays d’accueil.
Bref, avec tous les aspects ici relevés, qu’ils soient positifs ou négatifs, c’est certain qu’il devient de plus en plus difficile d’ignorer la croissance des diasporas à travers le monde, principalement en raison du phénomène de mondialisation actuel qui accentue les déplacements. C’est dans cette optique que la tolérance, l’ouverture d’esprit et l’acceptation de l’autre doivent être prônées le plus possible en plus d’effectuer une sensibilisation sur les autres cultures, et ce afin de mieux comprendre les différences existantes au sein des peuples présents partout sur le globe.
Catherine Rioux
Référence : Ce texte se base de manière générale sur les différents billets existant sur ce blogue, et donc s’inspire indirectement des sources bibliographiques de chacun d’entre eux.